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Impôt de non-résident en Espagne (IRNR) : Guide complet 2025 pour les propriétaires étrangers

Mis à jour le: 11 juillet 2025

Temps de lecture: 16,4 min

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Vous n’avez pas le temps de tout lire ?

Si vous êtes non-résident fiscal et propriétaire d’un bien en Espagne, vous devez déclarer l’IRNR chaque année, même si vous ne percevez aucun revenu locatif. Cet impôt s’applique automatiquement, sur une base fictive calculée à partir de la valeur cadastrale du bien.
Son montant varie selon votre pays de résidence (19 % ou 24 %) et le type d’usage du bien (loué ou non). La déclaration se fait via le formulaire 210, sans relance de l’administration. Oublier de le faire peut entraîner amendes, intérêts et blocage en cas de vente.

Impôt de non-résident en Espagne : une taxe méconnue mais incontournable

Vous êtes non-résident fiscal et propriétaire d’un bien immobilier en Espagne ? Même si vous n’y habitez pas et que votre logement n’est pas loué, vous êtes très probablement redevable de l’IRNR — l’impôt de non-résident en Espagne.

Peu connue des acheteurs étrangers, cette taxe annuelle est pourtant obligatoire, dès l’acquisition d’un bien immobilier. Elle s’applique même en l’absence de tout revenu locatif, sur la simple base de détention d’un bien par un non-résident fiscal.

Ignorer cette obligation peut entraîner des régularisations coûteuses, des pénalités, ou bloquer une vente ou une succession future. Ce guide vous aide à comprendre l’IRNR, à anticiper son impact sur votre budget annuel, et à déclarer correctement cette taxe afin d’éviter toute mauvaise surprise avec l’administration fiscale espagnole.

Qu’est-ce que l’IRNR ?

Une taxe spécifique aux non-résidents

L’IRNR (Impuesto sobre la Renta de No Residentes) est l’impôt appliqué en Espagne sur les revenus de source espagnole perçus par des personnes non résidentes fiscalement dans le pays. Il est prévu par la Ley del IRNR (Ley 5/2004) et perçu par l’administration fiscale espagnole, l’Agencia Tributaria (AEAT).

Dans le cas de l’immobilier, l’IRNR s’applique même si le bien n’est pas loué : une valeur locative théorique est alors imposée. Cette obligation surprend souvent les acheteurs étrangers qui ne perçoivent pas de revenus en Espagne mais sont tout de même redevables de cet impôt de non-résident.

Qui doit le payer ?

L’IRNR concerne toute personne physique ou morale non résidente fiscalement en Espagne, mais propriétaire d’un bien immobilier situé sur le territoire espagnol. Peu importe que le bien soit utilisé comme résidence secondaire, laissé vide ou en attente de location : dès l’instant où vous êtes considéré comme non-résident, vous êtes soumis à cette taxe.

La notion de non-résidence fiscale dépend de plusieurs critères (durée de séjour, centre d’intérêts économiques, lieu de résidence de la famille). Pour une analyse complète, consultez notre guide dédié à l’IRPF en Espagne – impôt sur le revenu des personnes physiques.

Les propriétaires via une SCI française (ou structure équivalente) sont également concernés, selon les cas, car l’Espagne considère généralement le propriétaire réel du bien comme redevable de l’impôt, même en présence d’une société intermédiaire.

Quand doit-on payer l’IRNR ?

Une déclaration obligatoire, même sans revenu

L’impôt de non-résident en Espagne (IRNR) doit être déclaré chaque année pour tout bien immobilier détenu par une personne non résidente, même si le bien n’est pas loué. Il ne s’agit pas d’un impôt optionnel ou conditionné par des revenus réels : la simple détention du bien entraîne une imposition minimale, basée sur une valeur locative théorique.

Biens non loués : une seule déclaration annuelle

Dans le cas d’un bien non loué, la déclaration doit être faite avant le 31 décembre de l’année suivant celle à laquelle se rapporte l’imposition. Par exemple, pour l’année fiscale 2024, la déclaration doit être déposée au plus tard le 31 décembre 2025.

Cette obligation passe souvent inaperçue, car l’administration fiscale espagnole n’envoie pas de relance ou de courrier automatique aux non-résidents. L’initiative de la déclaration incombe donc entièrement au contribuable, ce qui expose les propriétaires étrangers à des pénalités en cas d’oubli.

Biens loués : déclarations trimestrielles obligatoires

Si le bien est mis en location, le régime change : vous devez déposer une déclaration chaque trimestre, dans les 20 premiers jours du mois suivant la fin du trimestre. Cela signifie par exemple que les revenus du 1er trimestre (janvier à mars) doivent être déclarés avant le 20 avril.

Cette fréquence trimestrielle s’applique uniquement en cas de revenus locatifs perçus, et nécessite un suivi rigoureux de votre calendrier fiscal.

Comment se calcule l’IRNR ?

L’impôt de non-résident en Espagne (IRNR) se calcule selon deux régimes distincts : l’un pour les biens non loués, l’autre pour les biens loués. Le calcul varie donc selon l’usage du bien, mais dans les deux cas, il repose sur des règles précises définies par l’Agencia Tributaria.

Cas d’un bien non loué : une base fictive

Lorsque le bien n’est pas loué, l’administration fiscale espagnole applique une valeur locative théorique pour établir le montant de l’impôt. Cette base est calculée sur la valeur cadastrale (valor catastral), un montant fixé par la mairie et généralement inférieur au prix de marché.

  • Si la valeur cadastrale a été révisée après 1994, le taux d’imputation est de 1,1 %.
  • Si elle n’a pas été révisée, le taux monte à 2 %.

Le revenu fictif ainsi obtenu est ensuite soumis à un taux d’imposition :

  • 19 % pour les résidents d’un pays membre de l’Union européenne ou de l’Espace économique européen ayant un accord d’échange d’informations fiscales.
  • 24 % pour les autres contribuables non-résidents.

Exemple : Si la valeur cadastrale est de 80 000 € (révisée), la base imposable est de 880 € (1,1 %) et l’impôt à payer est de 167,20 € si vous êtes résident français.

Cas d’un bien loué : sur les revenus réels

Lorsque le bien est mis en location, l’IRNR s’applique sur les revenus locatifs réellement perçus, après déduction de certaines charges. Toutefois, cette déduction n’est possible que pour les contribuables résidant dans l’UE ou l’EEE (et sous conditions de réciprocité fiscale).

Les charges déductibles peuvent inclure :

  • les frais de gestion,
  • les intérêts d’emprunt,
  • les assurances,
  • les travaux d’entretien,
  • les taxes locales (comme l’IBI),
  • ou encore l’amortissement du bien.

Les contribuables hors UE doivent quant à eux déclarer le revenu brut sans aucune déduction, et sont imposés à 24 %.

Dans ce cas, la déclaration est trimestrielle. Il est donc crucial de tenir une comptabilité claire et à jour pour éviter tout litige ou pénalité.

Conventions fiscales : un levier souvent oublié pour réduire ou éviter l’IRNR

L’Espagne a signé des conventions fiscales avec de nombreux pays, dont la France, la Belgique, la Suisse et le Canada. Ces accords internationaux permettent d’éviter les doubles impositions et peuvent réduire voire annuler l’impôt de non-résident (IRNR) dans certains cas.

Exemples concrets :

  • Un retraité français percevant une pension du secteur privé espagnol ne sera imposable qu’en France, et peut donc être exonéré d’IRNR en Espagne.
  • Un résident belge percevant un dividende espagnol peut bénéficier d’un taux d’imposition réduit à 15 % au lieu du taux standard de 19 %.
  • Certains intérêts (notamment obligataires) peuvent être exonérés d’impôt en Espagne, selon la convention en vigueur.

Pour bénéficier de ces avantages, il faut fournir un certificat de résidence fiscale de votre pays et parfois compléter un formulaire spécifique auprès de l’administration espagnole.

N’hésitez pas à nous contacter si vous souhaitez vérifier votre situation et activer les bénéfices de la convention entre l’Espagne et votre pays de résidence.

Comment déclarer l’IRNR ?

Déclarer l’impôt de non-résident en Espagne (IRNR) peut sembler complexe au premier abord, surtout sans accompagnement fiscal. Pourtant, les démarches sont relativement bien encadrées, à condition de respecter les obligations formelles et les délais.

Le formulaire 210 : la clé de la déclaration

L’ensemble des déclarations d’IRNR passent par le formulaire 210, mis à disposition par l’Agencia Tributaria (AEAT). Ce document permet de déclarer :

  • un bien immobilier à usage personnel (non loué),
  • ou les revenus locatifs générés par un bien situé en Espagne.

Important : Il faut remplir un formulaire 210 par bien et par année fiscale (ou par trimestre si le bien est loué). Si vous possédez deux biens non loués, vous devez soumettre deux déclarations distinctes.

Formulaires et ressources officielles à consulter

Pour déclarer correctement votre IRNR ou vous informer directement auprès des autorités espagnoles, voici les principales ressources utiles :

  • Formulaire 210 IRNR (site officiel AEAT)
    Le formulaire principal à utiliser pour déclarer l’impôt de non-résident, que le bien soit loué ou non.
  • Loi sur l’IRNR – Ley 5/2004 (BOE)
    Le texte législatif complet régissant l’impôt de non-résident en Espagne.
  • Guide d’aide au formulaire 210 (AEAT)
    Explication des champs à remplir, délais, modalités de paiement, et options de déclaration.

Ces ressources sont en espagnol ou en anglais. Si vous avez besoin d’aide pour comprendre ou remplir ces documents, notre équipe peut vous accompagner pas à pas.

Le formulaire peut être :

  • rempli en ligne directement sur le portail officiel de l’AEAT,
  • téléchargé, imprimé et envoyé par voie postale,
  • ou remis par un représentant fiscal.

Les démarches à suivre

  • La déclaration est individuelle : en Espagne, il n’existe pas de déclaration par foyer fiscal pour les non-résidents. Chaque propriétaire doit donc effectuer sa propre déclaration, même en cas de bien détenu en indivision.
  • Il est vivement conseillé de mandater un représentant fiscal, surtout si vous n’avez pas de NIE actif ou de compte bancaire espagnol. Ce professionnel pourra gérer la déclaration, la communication avec l’administration, et le paiement de l’impôt.
  • Le paiement peut être effectué :
    • par virement bancaire,
    • via prélèvement automatique si vous disposez d’un compte espagnol,
    • ou par carte bancaire, directement depuis le site de l’administration fiscale.

Attention : aucune relance n’est envoyée automatiquement par les autorités fiscales. Il revient au propriétaire de respecter les échéances et d’initier la déclaration.

Taux d’imposition IRNR : des cas particuliers à connaître

Le taux IRNR standard est de :

  • 19 % pour les résidents de l’Union européenne ou de l’Espace économique européen (EEE),
  • 24 % pour les non-résidents hors UE/EEE.

Mais d’autres taux spécifiques s’appliquent dans certains cas :

Sources : Agencia Tributaria, BOE (estimations 2025)
Situation Taux applicable
Revenu locatif – résident UE/EEE 19 % sur le revenu net (charges déductibles)
Revenu locatif – hors UE/EEE 24 % sur le revenu brut
Bien non loué (rente imputée) 19 % ou 24 %, selon résidence
Pensions de source espagnole (hors convention) Barème IRNR progressif : 8 % / 30 % / 40 %
Salarié saisonnier non-résident 2 % (taux réduit)

Bon à savoir : un non-résident de l’UE peut, dans certains cas, demander à être imposé comme un résident fiscal espagnol (option IRPF), ce qui permet de bénéficier d’abattements et du barème progressif. Cette option est soumise à conditions, notamment de revenu.

Quelles sont les sanctions en cas de non-déclaration de l’IRNR ?

Ignorer ou repousser la déclaration de l’impôt de non-résident en Espagne (IRNR) peut entraîner des conséquences sérieuses. Contrairement à certaines idées reçues, le fisc espagnol (Agencia Tributaria) surveille de près les obligations des propriétaires non-résidents, y compris ceux qui n’habitent pas en Espagne et ne perçoivent aucun loyer.

Amendes, intérêts de retard et régularisations

En cas de retard ou d’omission, l’AEAT applique des intérêts de retard sur le montant dû, ainsi que des amendes forfaitaires pouvant aller de 50 € à plusieurs centaines d’euros selon le délai écoulé, le montant non déclaré, et le degré de négligence.

La régularisation est toujours possible, mais plus elle est tardive, plus les pénalités seront élevées. Les propriétaires peuvent également être contraints de régulariser plusieurs années en arrière.

Dossiers bloqués en cas de vente ou de succession

Une non-conformité fiscale peut bloquer une vente immobilière. Les notaires exigent souvent la preuve du paiement de l’IRNR sur plusieurs années avant de finaliser l’acte. Il en va de même dans le cadre d’une succession : l’absence de déclaration IRNR peut empêcher les héritiers de faire valoir leurs droits, voire générer des amendes posthumes.

Croisements automatiques de données

Depuis plusieurs années, l’administration fiscale espagnole croise automatiquement les données issues du cadastre, des actes notariés, des banques, et du registre foncier. Ce système permet de repérer facilement les biens détenus par des non-résidents et de vérifier si l’IRNR a bien été déclaré.

Conclusion : il est fortement déconseillé d’attendre un courrier de relance. Le non-paiement de l’IRNR est généralement détecté tôt ou tard, avec des conséquences financières et administratives lourdes.

IRNR et autres taxes : à ne pas confondre

Lorsque l’on possède un bien immobilier en Espagne sans y résider, il est essentiel de distinguer les différentes taxes auxquelles on peut être soumis. L’impôt de non-résident (IRNR) est souvent confondu avec d’autres obligations fiscales, ce qui peut entraîner des oublis ou des erreurs dans les déclarations.

IRNR ≠ IBI : deux taxes complémentaires

L’IBI (Impuesto sobre Bienes Inmuebles) est la taxe foncière locale, prélevée une fois par an par la mairie où se situe le bien. Elle est due par tout propriétaire, résident ou non, même si le logement est vide.

À l’inverse, l’IRNR est un impôt national, calculé sur la base de revenus réels ou fictifs liés au bien, et prélevé par l’Agencia Tributaria. Il s’agit donc de deux contributions bien distinctes :

  • IBI : taxe municipale sur la propriété.
  • IRNR : impôt national sur les revenus présumés du bien immobilier.

IRNR ≠ IRPF : selon votre statut fiscal

L’IRPF (Impuesto sobre la Renta de las Personas Físicas) est l’impôt sur le revenu des résidents fiscaux en Espagne. Il s’applique sur l’ensemble des revenus mondiaux d’un contribuable vivant en Espagne plus de 183 jours par an ou ayant son centre d’intérêts économiques dans le pays.

L’IRNR, lui, ne concerne que les non-résidents possédant un bien en Espagne. Il est donc crucial de déterminer votre statut fiscal pour savoir quel impôt s’applique.

Cas pratiques : combien allez-vous payer ?

Voici deux exemples concrets pour mieux comprendre comment se calcule l’IRNR, selon que le bien soit loué ou non :

Cas 1 : Bien non loué à Valence

  • Valeur cadastrale : 80 000 €
  • Base imposable (1,1 % de la valeur cadastrale) : 880 €
  • Taux IRNR (résident UE) : 19 %
    Montant de l’IRNR à payer : 167,20 € par an

Même sans location ni revenu, un impôt est dû chaque année.

Cas 2 : Bien loué à Barcelone

  • Revenus locatifs annuels : 10 000 €
  • Charges non déductibles (propriétaire hors UE)
  • Taux IRNR applicable : 19 %
    Montant de l’IRNR à payer : 1 900 € par an

Les résidents de l’Union européenne peuvent, eux, déduire certaines charges (entretien, assurances, impôts locaux), ce qui réduit la base imposable.

Une obligation annuelle à ne pas sous-estimer

Parmi les obligations fiscales pesant sur les propriétaires étrangers en Espagne, l’IRNR figure parmi les plus méconnues. Et pourtant, cette taxe est obligatoire chaque année, même en l’absence de revenus locatifs, et s’applique dès la première année de détention du bien.

Ne pas la déclarer peut entraîner des régularisations coûteuses, des intérêts de retard, voire des blocages en cas de vente ou de succession. Mieux vaut donc l’anticiper que la subir.

Intégrez l’IRNR à votre budget immobilier annuel dès l’achat, au même titre que la taxe foncière (IBI) ou les charges de copropriété. Et si vous souhaitez éviter les erreurs ou les retards, un accompagnement professionnel vous fera gagner en sérénité.

Pour aller plus loin dans vos obligations fiscales en Espagne

L’impôt de non-résident (IRNR) n’est qu’une des composantes de la fiscalité immobilière en Espagne. D’autres taxes s’appliquent également à tous les propriétaires, qu’ils soient résidents ou non. Il est donc essentiel d’avoir une vision globale pour éviter toute omission ou mauvaise surprise.

Pour mieux comprendre l’ensemble des frais et obligations liés à votre bien, consultez aussi :

🔗 L’impôt sur le revenu des personnes physiques (IRPF) en Espagne en 2025 : Tout ce qu’il faut savoir
🔗 Taxe foncière en Espagne (IBI) : guide 2025 pour les non-résidents
🔗 Combien coûte l’achat d’un bien immobilier en Espagne ? TVA, ITP et frais annexes
🔗 Les taxes lors d’un achat immobilier en Espagne en 2025

🔗 Service d’accompagnement fiscal et juridique SpainEasySupport

Questions fréquentes

  1. Qu’est-ce que l’IRNR en Espagne ?
    L’IRNR (Impuesto sobre la Renta de No Residentes) est un impôt dû par toute personne non résidente fiscalement en Espagne, mais propriétaire d’un bien immobilier situé dans le pays. Il s’applique même sans revenu locatif.
  2. Dois-je payer l’IRNR si je ne loue pas mon bien ?
    Oui. Même sans location, l’IRNR est obligatoire. L’administration espagnole impose une “rente fictive” calculée à partir de la valeur cadastrale du bien.
  3. Quel est le montant de l’IRNR à payer ?
    Pour un bien non loué, l’IRNR est calculé sur une base de 1,1 % ou 2 % de la valeur cadastrale, imposée à 19 % (UE/EEE) ou 24 % (hors UE).
  4. À quelle fréquence faut-il déclarer l’IRNR ?
    La déclaration est annuelle pour les biens non loués, et trimestrielle si le bien est en location. Chaque déclaration se fait via le formulaire 210.
  5. Quels sont les risques en cas de non-déclaration ?
    Amendes, intérêts de retard, et blocage possible lors d’une vente ou d’une succession. L’administration croise de plus en plus les données fiscales automatiquement.
  6. Puis-je être aidé pour déclarer l’IRNR ?
    Oui. SpainEasySupport propose un service complet incluant le calcul, la déclaration annuelle ou trimestrielle et la représentation fiscale en Espagne.
Miniature Auteur Randy Patrigeon

Auteur

Randy Patrigeon

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