
Les taxes lors d’un achat immobilier en Espagne en 2025
Mis à jour le: 1 juillet 2025
Temps de lecture: 19 min
Vous n’avez pas le temps de tout lire ?
Voici l’essentiel en une minute : en Espagne, les taxes et frais liés à l’achat immobilier varient fortement selon le type de bien (ancien ou neuf), la région, et votre situation personnelle. Dans l’ancien, vous paierez l’ITP (entre 4 % et 13 % selon la communauté autonome) ; dans le neuf, comptez 10 % de TVA + jusqu’à 2 % d’AJD. À cela s’ajoutent les frais de notaire, d’enregistrement, d’avocat, et éventuellement d’agence. Après l’achat, vous devrez régler chaque année l’impôt foncier (IBI) et, selon les cas, d’autres taxes comme l’impôt sur le patrimoine ou la plus-value municipale. Ce guide détaille tout ce que vous devez anticiper pour budgétiser correctement votre projet en Espagne.
Comprendre les frais et taxes pour acheter en Espagne
Acheter un bien immobilier en Espagne est un projet séduisant, mais il ne faut pas négliger les frais et taxes liés à l’acquisition. Ces coûts, parfois mal anticipés, peuvent représenter jusqu’à 15 % du prix d’achat.
Pourquoi anticiper les coûts fiscaux ?
En anticipant les frais fiscaux et annexes, vous évitez les mauvaises surprises et préparez un budget réaliste. Cela permet aussi de comparer plus efficacement les opportunités régionales.
Ancien ou neuf : des taxes très différentes
Les taxes varient selon le type de bien :
- Dans l’ancien, l’ITP (entre 6 % et 13 %) s’applique,
- Dans le neuf, il faut compter 10 % de TVA + l’AJD (jusqu’à 2 %).
Bien identifier le régime applicable dès le départ est indispensable pour calculer les frais réels.
Une fiscalité régionale à bien comprendre
Les taux varient fortement d’une région à l’autre, car la fiscalité est décentralisée. Par exemple, Madrid est plus avantageuse que les Baléares ou Valence. Pour cette raison, un accompagnement local est souvent utile pour optimiser votre achat.
Résumé express : taxes et frais selon le type de bien
Exemples de répartition des frais :
Panorama global : Quelles taxes et frais s’appliquent en Espagne ?
En Espagne, les frais immobiliers ne se limitent pas au prix du bien. Il faut y ajouter plusieurs taxes et coûts annexes, qui varient selon le type de bien, la région, et le moment de l’achat.
Taxes ponctuelles et récurrentes : bien distinguer
Certaines taxes sont payées une seule fois, lors de l’acquisition :
- ITP (ancien) ou TVA + AJD (neuf),
- Frais de notaire,
- Frais d’enregistrement,
- Frais juridiques ou d’agence.
D’autres sont récurrentes et s’appliquent chaque année ou au moment de la revente :
- IBI (équivalent local de la taxe foncière),
- Plus-value municipale (lors de la vente),
- Éventuellement, impôt de non-résident ou revenus locatifs.
Il est donc important de différencier les charges immédiates des charges continues, surtout si vous achetez pour louer ou vivre à l’année.
Qui fixe les taux ? Un système fiscal à plusieurs niveaux
La fiscalité espagnole est décentralisée. Cela signifie que :
- L’État central fixe les grandes lignes (TVA, cadre fiscal général),
- Les communautés autonomes fixent les taux de l’ITP, de l’AJD et peuvent accorder des réductions,
- Les mairies appliquent l’IBI et la Plus-Value Municipale (IIVTNU), avec leurs propres barèmes.
Résultat : un même bien peut coûter beaucoup plus cher ou moins cher en fonction de la région ou de la ville où il se trouve.
Pourquoi le lieu d’achat change tout
Acheter à Madrid, Valence, Séville ou Palma n’a pas du tout les mêmes implications fiscales. Par exemple :
- Madrid applique un ITP réduit à 6 %,
- Valence impose l’AJD à 2 %, soit le taux le plus élevé du pays,
- Le Pays basque exonère totalement cette même taxe.
C’est pourquoi il est essentiel de se renseigner localement, voire de faire appel à un professionnel. Le lieu du bien influence fortement la fiscalité, et donc la rentabilité ou la faisabilité de votre projet.

Achat dans l’ancien : focus sur l’ITP (Impôt sur les Transmissions Patrimoniales)
À payer uniquement lors de l’achat d’un bien immobilier ancien (seconde main)
Lorsque vous achetez un bien immobilier ancien en Espagne, l’ITP est la taxe principale à régler. Elle remplace la TVA applicable dans le neuf et représente souvent la plus grosse charge fiscale lors de l’achat.
À qui s’applique l’ITP ?
L’ITP s’applique à toute personne qui achète un bien de seconde main (revente entre particuliers ou via agence). Elle concerne aussi bien les résidents que les non-résidents. Le paiement de cette taxe est à la charge de l’acheteur, jamais du vendeur.
Des taux qui varient fortement selon la région
L’ITP est une taxe régionale : chaque communauté autonome fixe ses propres taux, souvent avec des tranches progressives selon la valeur du bien. En 2025, les taux standards vont de 4 % à 13 %.
Voici un aperçu rapide des taux standards appliqués par région :
Communauté Autonome | Taux ITP 2025 |
---|---|
Andalousie | 7% |
Aragon | 8% |
Asturies | 8% |
Cantabrie | 9% |
Castille et Léon | 8% |
Castille-La Manche | 9% |
Catalogne | 10% à 11% |
Ceuta | 6% |
Estrémadure | 8% |
Galice | 8% |
Îles Baléares | 8% à 13% |
Îles Canaries | 6,5% |
La Rioja | 7% |
Madrid | 6% |
Melilla | 6% |
Murcie | 8% |
Navarre | 6% |
Pays basque | 4% |
Valence | 10% à 11% |
Réforme fiscale 2025 : baisse annoncée du taux ITP en Communauté valencienne
Dans le cadre d’une réforme fiscale annoncée en avril 2025, la Communauté valencienne s’apprête à revoir à la baisse son impôt sur les transmissions patrimoniales (ITP). Selon les déclarations du président de la Generalitat, Carlos Mazón, le taux standard de l’ITP applicable aux achats immobiliers passerait de 10 % à 9 % dès l’adoption des budgets régionaux 2025. Cette réforme fiscale de l’achat immobilier dans la Communauté valencienne vise à harmoniser la pression fiscale avec celle d’autres régions plus attractives fiscalement comme Madrid (6 %) ou l’Andalousie (7 %). Cette mesure – qualifiée de première baisse linéaire de l’ITP pour tous les contribuables de la région – s’ajoutera aux réductions existantes pour les jeunes acquéreurs, familles nombreuses ou personnes vulnérables. Si elle entre en vigueur, cette réforme pourrait sensiblement alléger le coût d’achat immobilier à Valence, Alicante ou Castellón dès la fin de l’année 2025.
Pour plus de détails région par région, consultez notre article complet :
Combien coûte l’achat d’un bien immobilier en Espagne ? TVA, ITP et frais annexes
Cas particuliers : réductions possibles
Certaines régions prévoient des taux réduits dans des cas spécifiques :
- Primo-accédants (jeunes acheteurs),
- Familles nombreuses,
- Achats de résidence principale,
- Personnes handicapées ou en situation vulnérable.
Ces réductions sont soumises à des critères stricts (âge, revenu, type de bien…) et nécessitent souvent une demande explicite. Elles peuvent permettre de réduire le taux d’ITP à 3 % ou 5 % dans certaines zones.
Déclaration, délais et valeur fiscale
L’ITP doit être déclaré via le modèle 600 (Modelo 600), un formulaire fiscal à remplir dans un délai de 30 jours ouvrables après la signature de l’acte de vente. Le paiement s’effectue auprès de l’administration fiscale régionale.
Attention : le montant à payer est calculé sur la valeur la plus élevée entre :
- le prix d’achat inscrit dans l’acte,
- la valeur fiscale de référence (valor de referencia) fixée par l’administration.
Si vous achetez un bien à un prix très attractif, vous pouvez être imposé sur une valeur plus élevée que celle réellement payée. Il est donc crucial de vérifier la valeur de référence avant de signer.

Achat dans le neuf : TVA + AJD à connaître absolument
Si vous achetez un bien immobilier neuf en Espagne, vous ne payez pas l’ITP. À la place, deux taxes spécifiques s’appliquent : la TVA (IVA) et l’AJD (Actos Jurídicos Documentados).
Ensemble, elles représentent jusqu’à 12 % du prix d’achat.
TVA à 10 %, sauf aux Canaries
La TVA (IVA) sur l’immobilier neuf est fixée à 10 % sur tout le territoire espagnol, sauf aux Îles Canaries, où elle est remplacée par l’IGIC à 7 %.
Elle s’applique uniquement si le bien est vendu par un promoteur, un constructeur ou un professionnel de l’immobilier.
Exemple : pour un logement neuf à 200 000 €, la TVA représente 20 000 € (ou 14 000 € aux Canaries).
AJD : une taxe souvent négligée, mais importante
L’AJD est une taxe sur les actes notariés (comme l’acte de vente). Elle s’ajoute à la TVA et varie fortement d’une région à l’autre.
Communauté Autonome | Taux AJD 2025 |
---|---|
Madrid | 0,75 % |
Catalogne | 1,5 % |
Andalousie | 1,2 % |
Valence | 2 % |
Îles Canaries | 0,75 % |
Pays basque | 0 % (exonéré) |
Consultez notre guide dédié :
Combien coûte l’achat d’un bien immobilier en Espagne ? TVA, ITP et frais annexes
Exonérations et cas spécifiques
Certaines régions prévoient des réductions ou exonérations de l’AJD dans les cas suivants :
- Achat de résidence principale,
- Familles nombreuses ou jeunes acheteurs,
- Logements sociaux ou à haute performance énergétique.
Le calcul de l’AJD se base sur le montant de l’acte notarié (généralement le prix du bien), et la déclaration se fait en même temps que le paiement de la TVA.
Frais récurrents post-achat : impôts fonciers et charges locales
Une fois propriétaire en Espagne, vous devrez assumer des frais annuels. Le principal est l’Impôt sur les Biens Immobiliers (IBI), équivalent de la taxe foncière française. Il s’agit d’un impôt local, obligatoire et récurrent, à ne pas négliger dans votre budget de propriétaire.
L’IBI, c’est quoi exactement ?
L’IBI (Impuesto sobre Bienes Inmuebles) est un impôt payé chaque année par tous les propriétaires, qu’ils soient résidents ou non. Il concerne :
- les résidences principales ou secondaires,
- les biens en location,
- et même les terrains non bâtis.
Le montant à payer dépend de la valeur cadastrale du bien (valor catastral), déterminée par la mairie. Cette valeur, souvent inférieure au prix du marché, tient compte de la localisation, de la surface, des équipements, etc.
Le taux d’imposition appliqué varie selon la municipalité. En 2025, il se situe généralement entre 0,4 % et 1,1 %.
Paiement, calendrier et obligations si vous n’êtes pas résident
L’IBI est prélevé une fois par an, souvent à l’automne. La mairie peut envoyer un avis de paiement, mais c’est au propriétaire de s’assurer du règlement.
Si vous êtes non-résident fiscal en Espagne, vous devez désigner un représentant fiscal local (un avocat ou gestionnaire) pour recevoir les notifications officielles et éviter tout oubli.
En cas de non-paiement, des pénalités s’appliquent, et la mairie peut même inscrire une hypothèque légale sur le bien.
Pour aller plus loin :
Taxe foncière en Espagne (IBI) : guide 2025 pour les non-résidents
Autres taxes potentielles : à connaître dès l’achat
Au-delà des taxes d’acquisition et de l’impôt foncier, d’autres charges fiscales peuvent s’appliquer selon votre situation personnelle ou vos projets à long terme. Ces taxes ne sont pas systématiques à l’achat, mais il est important de les anticiper dès le départ.
La Plus-Value Municipale (IIVTNU) : au moment de la revente
La Plus-Value Municipale — ou IIVTNU — est un impôt local dû uniquement par le vendeur lors de la revente d’un bien. Il concerne la valeur du terrain (pas du bâti) et est calculé sur la base de l’augmentation de la valeur cadastrale entre l’achat et la vente.
Depuis la réforme de 2021, deux méthodes de calcul existent :
- un forfait basé sur la durée de détention,
- ou un calcul réel basé sur la plus-value effective.
Le vendeur peut choisir la méthode la plus avantageuse.
L’Impôt sur le Patrimoine : pour les patrimoines élevés
L’Impôt sur le Patrimoine (Impuesto sobre el Patrimonio) concerne uniquement les personnes détenant un patrimoine net élevé en Espagne. Il est progressif et varie selon la région.
Le seuil d’imposition se situe autour de 700 000 € à 1 000 000 € de patrimoine net, hors résidence principale (dans certaines régions).
Même en tant que non-résident, vous êtes concerné si vous possédez un ou plusieurs biens en Espagne dont la valeur dépasse ce seuil. Il est donc essentiel d’évaluer l’impact fiscal avant un investissement important.
Droits de succession et donation : si transmission du bien
En cas de donation ou d’héritage d’un bien immobilier situé en Espagne, les bénéficiaires doivent s’acquitter des droits de succession ou de donation.
Ces droits sont fixés par les communautés autonomes et peuvent fortement varier d’une région à l’autre. Certaines offrent des exonérations quasi totales entre parents proches, d’autres appliquent des taux élevés.
Mieux vaut anticiper une transmission dès l’achat si votre objectif est patrimonial. Certaines structures juridiques permettent d’optimiser la fiscalité (nue-propriété, SCI espagnole…).

Frais annexes obligatoires lors de l’achat immobilier
En plus des taxes (ITP, TVA, AJD, IBI…), tout achat immobilier en Espagne implique plusieurs frais annexes incontournables. Ces coûts s’ajoutent au prix d’achat, et doivent être anticipés pour éviter les mauvaises surprises.
Frais de notaire : obligatoires mais encadrés
La rédaction de l’acte authentique chez le notaire est une étape obligatoire. En Espagne, les honoraires sont réglementés, et varient généralement entre 0,5 % et 1 % du prix d’achat.
À la différence de la France, le notaire espagnol n’a pas de rôle de conseil. Il se limite à :
- vérifier l’identité des parties,
- certifier l’acte de vente,
- enregistrer la transaction.
C’est pourquoi il est indispensable de se faire accompagner d’un avocat.
Frais d’inscription au Registre de la Propriété
Après la signature chez le notaire, le bien doit être inscrit au Registre de la Propriété. Cette formalité sécurise juridiquement l’achat en prouvant que vous êtes bien le nouveau propriétaire.
Comptez entre 0,4 % et 0,7 % du prix d’acquisition.
Ce montant peut varier légèrement selon la région et la complexité du dossier.
Honoraires juridiques : un accompagnement indispensable
Faire appel à un avocat spécialisé en droit immobilier espagnol est fortement conseillé, surtout pour les acheteurs étrangers.
Ses missions :
- Vérifier la situation légale du bien (charges, dettes, permis…),
- Gérer les déclarations fiscales (ITP, AJD, TVA…),
- Contrôler le contrat de réservation, le compromis de vente et l’acte notarié,
- Représenter l’acheteur devant le notaire.
Honoraires habituels : 1 % à 2 % du prix d’achat.
Frais d’agence immobilière : parfois à prévoir
En Espagne, les frais d’agence sont souvent à la charge du vendeur. Mais selon les régions, le type de bien ou l’agence choisie (intermédiation ou chasseur immobilier), des frais peuvent s’appliquer à l’acheteur.
Montant moyen : entre 3 % et 6 %, parfois inclus dans le prix affiché.
Travailler avec un chasseur immobilier permet souvent de bénéficier d’un service complet (visites, conseils, négociation, assistance juridique), avec une meilleure transparence sur les coûts.
Conseils pratiques pour bien budgétiser votre achat
Acheter un bien immobilier en Espagne, c’est bien plus que choisir une belle maison sous le soleil. Pour réussir son projet, il est essentiel de prévoir tous les frais dès le départ — y compris ceux auxquels on ne pense pas toujours.
Résidence fiscale : attention à la règle des 183 jours
Si vous passez plus de 183 jours par an en Espagne, vous serez considéré comme résident fiscal. Cela implique :
- Une imposition sur vos revenus mondiaux.
- Des obligations déclaratives spécifiques.
- Et potentiellement, l’impôt sur le patrimoine.
Si vous hésitez entre résidence principale, secondaire ou location, mieux vaut consulter un conseiller fiscal francophone dès le début du projet.
Simuler tous les frais avant de s’engager
Entre taxes (ITP, TVA, AJD), frais de notaire, d’enregistrement, d’avocat ou d’agence, les coûts peuvent vite grimper. Une simulation complète permet de :
- valider la faisabilité de l’achat,
- adapter votre budget à la réalité locale,
- et éviter les mauvaises surprises lors du compromis.
Pensez à utiliser notre simulateur de frais d’achat immobilier en Espagne.
Regrouper vos interlocuteurs pour gagner en efficacité
Travailler avec un chasseur immobilier disposant d’un réseau intégré (notaire, avocat, banque…) facilite grandement les démarches. Cela permet :
- de centraliser les échanges,
- de gagner du temps,
- et de bénéficier d’un accompagnement cohérent à chaque étape.
Cette approche est particulièrement utile si vous achetez à distance ou sans parler espagnol.
Anticiper les taxes et obligations post-achat
Une fois installé, vous devrez payer l’IBI chaque année, et éventuellement l’impôt sur les non-résidents, ou l’impôt sur le patrimoine. Certaines démarches sont à renouveler chaque année.
Désignez un représentant fiscal local pour assurer le suivi administratif.
Prévoyez un budget annuel d’entretien et de charges : copropriété, assurance, eau, électricité, alarme…
Outils utiles et services pour vous accompagner
Réussir un achat immobilier en Espagne, c’est aussi savoir s’entourer des bons outils et des bons professionnels. Voici une sélection de ressources pratiques pour gagner du temps, sécuriser votre achat et mieux maîtriser vos coûts.
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Pour aller plus loin sur les frais et obligations fiscales
Ce guide vous donne une vue d’ensemble des principales taxes immobilières à l’achat. Pour affiner votre budget et mieux anticiper vos obligations en tant que propriétaire, nous vous recommandons de consulter également nos contenus complémentaires :
🔗 Combien coûte l’achat d’un bien immobilier en Espagne ? TVA, ITP et frais annexes
🔗 L’IBI en Espagne : comprendre et gérer la taxe foncière
🔗 L’impôt des non-résidents (IRNR) : êtes-vous concerné et combien devrez-vous payer ?
Ces articles détaillent respectivement :
-
les frais initiaux concrets (notaire, enregistrement, avocat),
-
la taxe foncière annuelle, souvent négligée mais obligatoire,
-
et l’imposition annuelle sur les revenus théoriques ou réels perçus par les non-résidents, un impôt trop souvent oublié lors de l’achat.
Vous êtes non-résident fiscal et vous n’envisagez pas de louer ? Vous devez tout de même déclarer l’IRNR chaque année.
Découvrez les étapes clés d’un achat immobilier en Espagne
Vous débutez votre projet ? Commencez par comprendre l’ensemble du processus — de la recherche à la signature de l’acte.
🔗 Lire : Les étapes pour acheter un bien immobilier en Espagne
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